Cette salope de Karine que j’ai rencontré sur Fessestivites lors d’un des week-ends de rencontres organisés par le site m’a eu, mais alors elle m’a eu en beauté avec son histoire de couche !

Karine a découvert l’ABDL il y a quelques années avec son copain de l’époque qui adorait ça, un fétichisme qu’elle a partagé quelques temps et dans lequel elle est tombée sans se faire mal. Sauf que moi, pisser dans une couche cela ne me branche pas. Je respecte ses délires, la voir en couche ne me gêne pas, même si je préfère voir son délicieux fessier partagé par un joli string….. Mes fantasmes portent plutôt sur le BDSM et la fessée mais ce n’est pas son truc hormis la tendre petite fessée plaisir ne faisant pas rougir les fesses, elle ne m’a rien accordé de mes délires malgré mes attaques à répétition. Un soir, alors que j’avais un peu abusé de la vodka, Karine s’est loupée avec mon verre qu’elle a renversé en allongeant ses pieds sur la table basse du salon. Vu que j’avais vidé la bouteille et que c’était mon dernière verre j’ai vraiment eu envie de lui donner une fessée.

• Eh bien écoute, tu m’ennuies avec tes histoires de fessée mais je te propose un deal. Je te laisse me donner une fessée, pas trop forte quand même et tu me laisses te mettre une couche pour la nuit.

Vous connaissez les défis débiles du type « t’es pas cap / chiche » ? Ben avec Karine il ne faut pas jouer et pour cause, son esprit féminin tordu en fait un adversaire redoutable !!!!!! Lorsqu’elle s’est allongée sur mes genoux, c’est avec grand plaisir que j’ai soulevé sa nuisette et dévoilé ses petites fesses à croquer avant de lui claquer de bon cœur ses délicieuses rondeurs. Elle gigotait comme une perdue en envoyant la main pour se protéger mais je l’ai saisie au vol pour la lui coincer dans le dos afin de poursuivre gaiement en lui donnant la fessée méritée. Mes oreilles chastes furent surprise des noms d’oiseau utilisés pour décrire ma modeste personne tant elle était furieuse, ce qui motiva bien plus encore ma main... Lorsqu’elle eut les fesses bien rouges, je l’ai retournée et prise dans mes bras pour l’embrasser tendrement mais la garce m’a mordu la lèvre.

• Tu n’as pas intérêt à te débiner ! M’a-t-elle dit avant de m’embrasser à son tour en ce frottant les fesses.

Cinq minutes plus tard, la belle débarquait avec une couche et un rouleau de cellophane en me demandant de me « foutre à poil » et m’allonger sur le lit. Son regard vicieux aurait du m’alerter lorsqu’elle m’a mis la couche puis demandé de lui tendre mes mains, mais l’abus de vodka a joué en ma défaveur. Je rigolais comme un perdu en la regardant me faire des moufles avec le cellophane alimentaire, elle me disait que c’était pour que je ne triche pas, qu’elle n’avait pas confiance en moi. Je rigolais sous cape sans lui dire qu’en deux coups de dents j’aurai tout arraché.

• Lève-toi il faut que je te fasse une culotte en plastique avec le cello, c’est pour que la couche ne tombe pas.

M’a-t-elle dit. J’étais plié de rire en la regardant faire, puis elle a commencé à bloquer mes bras et poignets le long du corps. Elle m’a abandonné un instant pour aller chercher un deuxième rouleau de cellophane, en a coincé un morceau sous le précédent puis et s’est mise à me tourner autour en poussant des cris de sioux. J’étais pris d’un fou rire bien aidé par la vodka et je n’ai rien vu venir. En cinq minutes je me suis retrouvé réellement saucissonné de la tête aux pieds. Et là, elle m’a poussé sur le lit où je me suis lamentablement écroulé avant de me faire dévorer de bisous sadiques dans le cou. Karine est allée chercher nos peignoirs pour en extraire les ceintures qui lui ont servi de cordes pour attacher mes chevilles aux pieds du lit. - Essaye de te libérer maintenant gros bébé !

• Putain mais c’est solide ton truc ?

• Oui ! Tu resteras comme ça jusqu’à demain matin et si tu comptais aller aux toilettes en cachette c’est loupé !

La garce ! ! ! ! Ses idées tordues, elle n’a pu que les trouver sur Fessestivites.com ! Non seulement elle a recommencé ses bisous sadiques qui font des chatouilles dans mon cou tout en se vautrant sur moi, mais en plus, elle s’est fait faire une minette en enjambant ma tête dans un facesitting souvent à deux doigts de m’étouffer ! ! !

Si j’aime bien lui brouter la minette, c’est en règle générale suivi de quelque chose de plus consistant si vous voyez ce que je veux dire, traduire par là, tremper le petit Jésus dans le bénitier ou avec une injection par voie orale…. Là tintin ! A la suite de quoi, après quelques gémissements horribles pour ma libido exacerbée et mon Popaul obligé de garder la tête en bas, la garce s’est couchée et a éteint la lumière. Si la vodka coca m’aurait naturellement plongé dans le sommeil après un passage aux toilettes, là elle a commencé à me poser un sérieux souci, enfin, surtout le coca. Une lutte féroce s’engagea entre ma vessie et mon cerveau, l’une criait « il faut ouvrir les vannes » l’autre répondait « non » en ajoutant que j’avais passé l’âge de faire pipi au lit. Mon cerveau complaisant, donna mandat à mes mains pour découper le cellophane sauf qu’elles lui répondirent que si mes dents n’avaient pas rongé mes ongles, cela auraient peut-être pu se faire.

« Juste un peu » me suis-je dit une heure plus tard par peur que l’urine veille emprunter le chemin inverse, traduire, remonter de ma vessie à mes reins puis ainsi de suite jusqu’à ma bouche. Et là, la vessie a gagné le combat sans même crier « c’est la lutte finale » ! Le lendemain matin, une garce m’a sauté dessus en prenant soin de bien appuyer sur mon bas ventre tout en dévorant mon cou de bisous sadiques pour un chatouilleux comme moi. Je n’ai pas pu résister longtemps sous la furie de mon cœur qui s’est ensuite occupée de ma toilette en me promettant une petite gâterie. Elle a tenu sa promesse…..

Ecrivaillon